Reportage tiré de slate.fr
"Lundi 10 octobre à Paris, Arianna Huffington, fondatrice du Huffington Post aux Etats-Unis et directrice de la rédaction de AOL-Huffington Post Media Group, a annoncé le lancement avant la fin de l’année de la version française du site. Il se fera en partenariat avec Le Monde et Les Nouvelles Editions Indépendantes, propriétaires des Inrocks.
C'était une nouvelle très attendue en France. Le Huffington Post, créé en 2005, et propriété d'AOL depuis cette année, est un site d'actualité très influent aux Etats-Unis, avec plus d'un million de commentaires postés sur le site chaque mois. Le site sera en français, avec une ligne éditoriale française et des journalistes français. Et il pourra bénéficier de contenus du site américain.
Arianna Huffington espère que le site français, dans la mouvance des journaux américains, fera s’atténuer deux frontières selon elle très françaises: celle entre la gauche et la droite, et celle entre le journalisme papier et le journalisme web, auxquels les journalistes français s’accrocheraient encore."
"Lundi 10 octobre à Paris, Arianna Huffington, fondatrice du Huffington Post aux Etats-Unis et directrice de la rédaction de AOL-Huffington Post Media Group, a annoncé le lancement avant la fin de l’année de la version française du site. Il se fera en partenariat avec Le Monde et Les Nouvelles Editions Indépendantes, propriétaires des Inrocks.
C'était une nouvelle très attendue en France. Le Huffington Post, créé en 2005, et propriété d'AOL depuis cette année, est un site d'actualité très influent aux Etats-Unis, avec plus d'un million de commentaires postés sur le site chaque mois. Le site sera en français, avec une ligne éditoriale française et des journalistes français. Et il pourra bénéficier de contenus du site américain.
Arianna Huffington espère que le site français, dans la mouvance des journaux américains, fera s’atténuer deux frontières selon elle très françaises: celle entre la gauche et la droite, et celle entre le journalisme papier et le journalisme web, auxquels les journalistes français s’accrocheraient encore."
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