Demain on descend en Charente Maritime une autre fois pour l'échange scolaire avec l'Institution Saint Louis à Pont l'Abbé d'Arnoult. Si je ne me trompe pas, c'est la vingt-deuxième édition de l'échange et cette fois nous serons 34 élèves et accompagnateurs (c'est-à-dire moi et Elspeth) à prendre l'avion de Leeds à Nantes. Helen Williams, ma collègue multilingue très dévouée, a prévu des excursions à Futuroscope, Saintes et au château de la Roche-Courbon. Nos élèves assisterons également à des cours et passerons le reste du temps en famille. La dernière fois qu'on est allés au château de la Roche-Courbon une de nos élèves s'est fait attaquer par un cygne, paraît-il, mais je ne m'en souviens pas du tout.
Vous ne connaissez pas le château de la Roche Courbon? OK - voici une image juste pour vous:
Image: panoramio.com
Joli, non?
Wikipedia nous raconte:
"L'un des anciens propriétaires du château fut Jean-Baptiste Mac Nemara, lieutenant de Frégate et enseigne d'une compagnie de marine, qui épousa en 1713 Julienne Stapleton, fille de Jean Ier Stapleton, l'un des premiers Irlandais de Nantes1. Il acheta beaucoup plus tard le chateau, en 1756, un peu avant son décès, pour la somme de 130.000 livres2. Pierre Loti se rendait souvent en vacances chez sa sœur, domiciliée à Saint-Porchaire. Lors de ses balades à travers la campagne alentours, il tomba sous le charme du château de la Roche-Courbon, à l'abandon, en ruines, au milieu des broussailles. Profitant de sa notoriété, l'écrivain permit de sauver le site et fit connaître ce château, qu'il surnommait volontiers le « château de La Belle au bois dormant ».
Paul Chénereau acheta puis fit restaurer le domaine, lui redonnant sa splendeur d'antan. C'était son gendre et sa fille qui l'habitaient, mais décédés tous les deux récemment (Jacques Badois en 2008, son épouse en 2010). Bâti au XVe siècle sur un éperon rocheux au milieu des marais, ce château fort fut transformé en élégante demeure par Jean-Louis de Courbon, au cours du XVIIe siècle. Comme le marquis n'émigra pas lors de la révolution française le château ne fut pas vendu comme bien national. Sa fille Charlotte épousa un aide de camp de Napoléon. Très dépensière, elle sera ruinée et le château sera abandonné durant une centaine d'années."
Vous ne connaissez pas le château de la Roche Courbon? OK - voici une image juste pour vous:
Image: panoramio.com
Joli, non?
Wikipedia nous raconte:
"L'un des anciens propriétaires du château fut Jean-Baptiste Mac Nemara, lieutenant de Frégate et enseigne d'une compagnie de marine, qui épousa en 1713 Julienne Stapleton, fille de Jean Ier Stapleton, l'un des premiers Irlandais de Nantes1. Il acheta beaucoup plus tard le chateau, en 1756, un peu avant son décès, pour la somme de 130.000 livres2. Pierre Loti se rendait souvent en vacances chez sa sœur, domiciliée à Saint-Porchaire. Lors de ses balades à travers la campagne alentours, il tomba sous le charme du château de la Roche-Courbon, à l'abandon, en ruines, au milieu des broussailles. Profitant de sa notoriété, l'écrivain permit de sauver le site et fit connaître ce château, qu'il surnommait volontiers le « château de La Belle au bois dormant ».
Paul Chénereau acheta puis fit restaurer le domaine, lui redonnant sa splendeur d'antan. C'était son gendre et sa fille qui l'habitaient, mais décédés tous les deux récemment (Jacques Badois en 2008, son épouse en 2010). Bâti au XVe siècle sur un éperon rocheux au milieu des marais, ce château fort fut transformé en élégante demeure par Jean-Louis de Courbon, au cours du XVIIe siècle. Comme le marquis n'émigra pas lors de la révolution française le château ne fut pas vendu comme bien national. Sa fille Charlotte épousa un aide de camp de Napoléon. Très dépensière, elle sera ruinée et le château sera abandonné durant une centaine d'années."
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